dimanche 29 janvier 2012

Quand "Le Monde" parle de Michel (et de nous)

Bonsoir, 

Ci-dessous, un lien vers un article du monde relatant le record de Michel Rocard, premier octogénaire à avoir visiter les deux pôles.. 


Guillaume

vendredi 27 janvier 2012

Dédicace pour radio-DDU : la radio du bout du monde

Bonjour à tous,

Sur la base, nous avons notre propre radio, où nous pouvons choisir nous même les chansons à écouter (la radio de nos rêves quoi). Et en plus, une fois par semaine, une émission radio, créée par des hivernants, et destinée à toute la base (hivernants, campagnards d'été, touristes, manchots) est diffusée. Reportages, boule magique, faits divers, pubs ... tout est made in DDU!

Il y a également une rubrique "dédicace". Si vous voulez me dédicacer une musique, avec un petit message, c'est simple, il suffit d'envoyer un mail à skuarock@ddu.ipev.fr en renseignant les 3 informations suivantes :
- la ou les personnes concernées par la dédicace
- le titre et éventuellement l'artiste de la chanson
- le message à faire passer

Petite mise en garde, il n'y aura aucune censure, donc, attention aux messages à faire passer!

Bonne journée

Photo du jour : la vie cachée (et palpitante) des manchots Adélie

mercredi 25 janvier 2012

Quelques infos (et des photos)

Bisoir tout le monde,

Le bateau qui m’a amené vient de partir ce matin, emportant à son bord plus de 45 passagers, presser de retrouver la terre ferme, ramenant ainsi le nombre de personnes sur la base à une petite cinquantaine. Enfin un peu de calme. D’ici quelques jours, ce seront les quelques Australiens qui sont en transit chez nous en attendant un vol pour Casey (base antarctique Australienne) qui devraient partir. A ce moment là, j’aurais enfin une chambre à moi tout seul. Au début, je partageais ma chambre avec mon prédécesseur, puis rapidement avec l’un des Australien.

Je commence à bien me faire à la vie sur base : y’a un billard, un babyfoot, et une collection impressionnante de BD (je suis en train de me faire la collection des tuniques bleues) : bref, je ne chaume pas !

J’ai également fait mes premières sorties : je suis allé sur le continent (pour rappel, la base de DDU se trouve sur l’île des Pétrels, situé à 4.5 km du continent et à 2 km du glacier Astrolabe), et j’ai fait une petite ballade autour de l’île, un soir d’été, au couché du soleil. Car, on a beau être en dessous du cercle polaire, le soleil se couche quand même. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’il se couche derrière le continent qui forme une belle colline. Mais ce n’est pas parce que le soleil n’est plus là qu’il fait sombre, c’est juste moins lumineux : un peu comme un temps nuageux. Encore 3 semaines avant d’avoir un peu de nuit (c’est-à-dire encore 3 semaines avant que je ne commence à faire des mesures) (c’est-à-dire plus que 3 semaines pour mettre au point mon programme de calcul de l’ozone à DDU).

Juste une info, pour les gens de mon Labo qui me liraient : j’ai rencontré Jaime à DDU : il a quitté Concordia et attendait R2. Il est encore en vie et il va bien !

Allez, vous les attendez tous, voici (enfin) les nouvelles photos en provenance directe de la station non orbitale de DDU !
Couché de soleil sur la baie de DDU
Moi et mon fidèle compagnon de voyage
Mon premier manchot empereur
Au revoir l’Astro … à dans 2 semaines
MIR : Men in Red
DDU : ma base, mon bureau, mon lidar

mercredi 18 janvier 2012

Photo du jour


Attention, un intrus s'est glissé sur cette photo. Saurez vous le reconnaitre?
Guillaume

mardi 17 janvier 2012

Arrivé à DDU

Déjà 5 jours que nous sommes parti, la mer redeviens plus calme, et les salles de vie commune reprennent vie. Comme à mon habitude, l’après midi, je fais ma petite partie de belotte. C’est alors que quelqu’un nous dérange en disant : « glaçon à bâbord » ! Allez, pour la curiosité, allons voir notre premier iceberg de la traversé (qui soi dit en passant est le premier iceberg de ma vie). Et quand on voit ce spectacle, il n’y a qu’une chose à dire : faudrait un sacré gros verre pour mettre ce glaçon dedans ! Devant ce mastodonte, on se sent tout petit, et même le bateau paraît minuscule. Car ne l’oublions pas, ce que l’on voit ne représente que 10% de l’iceberg … ca fait réfléchir. L’iceberg passé, on retourne à la belotte, car la partie n’était pas finie.

 
Mon premier iceberg
L’après midi, séance photo des différents oiseaux virevoltant autour du bateau.
piaf number one
piaf number two
Le soir, ne voyant pas grand monde dans le salon, je me dirige alors sur le pont, pour observer la mer. Piou, tout le monde est là, en train de scruter la mer avec des yeux ébahit (que je ne tarde pas à avoir non plus) : on est arrivé dans le pac. Qu’est ce que le pac ? C’est de la banquise cassé, qui est en train de dériver et de fondre. Imaginez de la glace pillé dans un verre : c’est un peu ca. Au début, c’est quelques glaçons sur l’eau (de quelques mètres de diamètres), quelque peu éparpillé, et plus on s’approche de la côte, et plus on observe de « gros » glaçons (genre de glaçons pouvant couler plusieurs Titanic en même temps). Ce qui est impressionnant, c’est le nombre d’iceberg autour du bateau : en permanence, on peut observer au moins 5 icebergs imposant tout autour de nous.

un iceberg parmi tant d’autres
Vendredi 13 au soir, 17h : la base de Dumont D’Urville est en vue !!! Mais il y a encore 1 km de banquise. Casse la tienne, en avant toute moussaillon, ce n’est pas une petite couche de glace qui va nous arrêter !!! Et alors que le bateau arrive à pleine vitesse, on peut voir les manchots Adélie apeurés, courant de toute part pour éviter ce mastodonte en furie.

J’aimerais pouvoir dire que le bateau est rentré comme dans du beurre, avancer lentement mais surement vers la base. Mais ce n’est pas le cas. A chaque collision, le bateau arrive à avancer d’une dizaine de mètres, mais pas plus. Obliger de reculer, puis d’avancer de nouveau pour casser la glace. Et encore, et encore, et encore. Mais ce temps de cassage m’a permis de faire de très nombreuses photos de la banquise, des manchots, des manchots sur la banquise, de la base, des manchots sur la base, et des manchots. Car oui, il y a beaucoup de manchots Adélie. Pour rappel, les manchots Adélie sont de petits manchots (40cm). Et les observer sur la banquise, c’est un peu observer des fourmis : ca grouille de partout et ca va dans tous les sens. Leur démarche sur terre est assez trépidante ; pour aller plus vite, ils glissent sur le ventre. Mais c’est dans l’eau que leur talent se déploie. Et tels des dauphins, ils font des petits sauts hors de l’eau, pour le plus grand plaisir des spectateurs. Mais il se fait tard, et le bateau n’avance pas beaucoup. On dormira donc sur le bateau ce soir encore.

 
saut de manchots Adélie hors de l’eau
Sur la colline, en haut à droite, la base de Dumont D’Urville, légèrement sous les nuages
Samedi matin, 11h : le quai est encore loin, car la glace devient de plus en plus dur à casser. Mais on est autorisé à débarquer, et un hélicoptère viendra nous chercher pour nous amener jusqu’à la base. A peine débarqué que les manchots s’approchent de nous, curieux comme un chat mais à la fois craintif … comme un chat (bref, le manchot Adélie, c’est un peu le chat de l’Antarctique, sauf que ca aime bien l’eau).
un manchot Adélie faisant la pause pour la photo

Après un petit tour d’hélicoptère, me voici enfin sur la base de Dumont D’Urville : il est 11h30 ! Après plus de 10 jours de voyages (je suis parti le 3 de La Réunion), dont 7 jours de bateau, je suis enfin arrivé à mon nouveau chez moi, endroit que je ne quitterais pas pendant 13 mois !

Cela fait maintenant 2 jours que je suis arrivé, et je commence à prendre mes marques. J’ai un grand bureau avec vue sur la baie. Et actuellement, c’est rempli d’iceberg. Allez, pour finir, une dernière image pris de mon bureau vers 23h (et oui, je suis sous le cercle polaire, il n’y a pas de nuit).
iceberg ensoleillé vu de la fenêtre de mon bureau

Guillaume

mardi 10 janvier 2012

En direct de l'Astrolabe

Il est 6h du matin, réveillé par une fringuale, une envie d'aller aux toilettes, et un bateau qui me secoue énormément. Bienvenue sur l'Astrolabe. Après avoir difficilement enfilé quelques vêtements, me voici en route vers le pont, afin de voir de mes propres yeux cette mer déchainée qui nous malmène tant. Quoi??? Ce sont ces petites vaguelettes qui nous font tant de mal? Bon, d'accord, ce sont des vagues de 4 mètres de haut. Mais vu d'ici, elles ont l'air bien petites. Bon, bah, je n'ai plus qu'à aller manger un morceau. Jus de pomme et pain au chocolat pour commencer cette belle (et surtout longue) journée.

Voilà maintenant l'heure de l'exercice de la journée : se laver. Qui y'a-t-il de plus folklorique que d'aller dans un endroit qui est d'ordinaire déjà assez glissant (la douche) quand en plus le bateau gite de 20°? C'est alors là qu'il faut utiliser tous ces talents d'équilibristes et de souplesse. Et oui, car pour prendre sa douche, il vaut mieux toujours avoir une main aggriper à la barre de maintient. Mais après, il ne reste plus qu'une main pour se laver. Essayer un peu pour voir la complexiter de la chose. Aujourd'hui, je crois avoir trouvé ma limite : je ne pense pas pouvoir me doucher avec un gite supérieur à 20°. Car 20° de gite, c'est une mer "normal" pour ces latitudes. En pleine tempête, on peut monter à 30, voir 40°...

Et maintenant, il n'y a plus qu'à attendre. Car il n'y a pas grand chose à faire sur le bateau : jeux de carte, PC, livre ... le tout coincé entre sa cabine (9m², 4 lits), le salon (20m²), la salle à manger (15m²) et la passerelle (15m²). Alors, c'est vrai, il y a aussi le pont du bateau, mais encore faut-il qu'il fasse beau. Car en ce moment, c'est plutôt assez gris, il pluviote, il fait froid (5°C) et il y a du vent (40 noeuds). Et pour couronner le tout, nos packages "IPEV", contenant nos affaires contre le froid, sont coincés dans une caisse en fond de cale. Impossible d'aller les récupérer avant le pac.

Mais bon, tout n'est pas si noir : en effet, le mauvais temps n'a commencé que cette nuit (lundi soir). On a donc eu le droit à 2 jours de belle mer. Et normalement, le temps devrait rester comme ca jusqu'à DDU, sans se dégrader. Alors, comme ca, ca peut parraître une traversée assez mouvementé, mais d'après le capitaine, c'est pas souvent qu'il y ait aussi beau temps. A méditer ... ou pas.

Et puis surtout, et il ne faut pas l'oublier, j'ai la santé (enfin, pour l'instant). Pas de mal de mer, j'ai de l'appétit et je m'hydrate bien. Et tout ça, sans médicaments (je suis un Warior!!!).

Allez, normalement, dans 2 jours (jeudi), on atteint le pac (c'est-à- dire la banquise brisé). A partir de là, il ne devrait plus y avoir de vagues. Certes, on avancera moins vite, mais la vue devrait être magnifique : icebergs, manchots, baleines, petits hommes verts, etc.

C'est sur ces bonnes paroles pleines d'optimisme que je vais m'arreter là pour aujourd'hui. Prochain message quand je serais (enfin) arrivé à DDU.

Guillaume

jeudi 5 janvier 2012

Journal d'une folle journée

Mardi, 7h00 (4h heure de Paris)
Je me réveil très facilement, en me disant en boucle : "Ca y est, je pars, ca y est, je me casse"! Après avoir prix un petit déjeuné, je suis en train de boucler ma valise. But : ne rien oublier avant de partir.

Mardi, 9h45 (6h45)
Je viens de rendre ma voiture de location, et une collègue vient me chercher pour aller à l'aéroport

Mardi, 10h20 (7h20)
Me voilà à l'aéroport, faisant la queue pour mon baguage. Arriver la vérification d'identité, viens le pesage : 26 kg d'après la balance ... oups, je n'ai le droit qu'à 23 ... mais ca passe, sans même un petit commentaire. La journée commence bien.

Mardi, 12h00 (9h00)
Entrée dans l'avion (un Airbus A340).

Mardi, 13h00 (10h00)
Décollage de l'avion, direction l'île Maurice. L'indicateur "boucler vos ceinture" s'est à peine éteint que les hôtesses de l'air nous apporte un verre. 10 minutes plus tard, elles repassent reprendre notre verre. Et voilà que l'indicateur "boucler vos ceintures" vient de se rallumer : on est en train d’atterrir. Le voyage La Réunion - Maurice, d'une durée de 40 minutes, est vraiment très court (je ne suis même pas sur que l'avion atteint son altitude de croisière).

Mardi, 13h40 (10h40)
Arrivée de l'avion, et passage de la douane

Mardi, 14h20 (11h20)
Toujours en train d'attendre à la douane (la vache, ce sont vraiment pas des rapides les mecs)
Quand enfin j'arrive au comptoir, on me dit que je n'ai pas de place réservé. Je suis bien sur la liste de passager, mais les gars de La Réunion auraient du me donner le billet d'avion. Bref, un bordel. Il me fait attendre que tout le monde soit passé à la douane, avant de revenir vers moi. Alors que j'avais fait ma demande sur internet pour me retrouver du coté hublot, me voici en plein milieu de l'appareil.

Mardi, 15h30 (12h30)
Alors que l'embarquement devait commencer à 14h50, on commence à peine à nous faire monter dans l'appareil. Et là encore, ce ne sont pas des flèches pour nous faire monter.

Mardi, 16h40 (13h40)
Départ de l'avion avec plus d'une heure de retard. L'Airbus A340 est plein. Et en route vers 9h20 de trajet. Le retard prit au début a été rattrapé. Je soupçonne que l'avion est pris une trajectoire plus direct que normalement, à cause d'un cyclone qui traine dans l'océan indien. En effet, d'habitude, l'avion passe fait une légère courbe vers le nord, pour ne jamais rester trop loin d'autres aéroports (en cas de problème).

Mercredi, 9h30 (00h30)
Arrivé à Sydney. Le voyage fut long, très long. Surtout que je n'ai pas réussi à dormir. Et maintenant, la douane Australienne, et tous ces interdits (interdiction de ramener de plantes, d'animaux, de nourriture, ni de boue sur ces chaussures). Et là, aucun problème. J'ai même passé moins de temps à la douane Australienne qu'à la douane Mauricienne.

Mercredi, 10h10 (01h10)
Me voilà sorti de l'aéroport. Je vais directement enregistrer mon baguage pour le vol suivante (et le dernier). Arg, trop lourd, cette fois ci, mes charmes n'ont pas suffit à faire basculer l'avis du monsieur de Quantas. Mais bon, il est gentil, il me dit que j'ai le droit à deux baguage à main. Je sors donc 4kg de ma valide, que je mets dans un sac plastique. Ouf, c'est bon! Le sac est bien enregistré, il me reste plus que 4h à tirer. Direction centre ville de Sydney!

Harbourg Bridge

Opéra de Sydney

La city de Sydney (vu de l'Opéra)

Le zoli zardin deZidney

Le penseur de Rhode ... à l'australienne quoi

Un espèce de Dodo ... à l'australienne quoi

Le pigeon du coin ... à l'australienne quoi


Mercredi, 10h40 (01h40)
Arrivée en centre ville de Sydney. C'est jolie comme tout. J'ai fait un petit tour sur les quai, devant l’opéra, puis j'ai flanner dans un jardin. Ce qui m'a le plus surpris, c'est le jardin : très beau jardin, sur les rives de l'embouchure du fleuve, et quelques curiosités (voir photos).

Mercredi, 14h10 (5h10)
Après avoir rencontrer mes futurs acolytes de voyage à l'aéroport (pour les rencontrer, ce fut facile, il suffisait de tendre l’oreille et de se diriger vers celles et ceux qui parlaient français), je prends le dernier avion de l'année (enfin, j'espère) ... en tout cas, le dernier avion de ma folle épopée.

Mercredi, 16h00 (7h)
Après avoir réussi à dormir une petite heure, me voici enfin à Hobart. A l'aéroport, un chauffeur vient nous chercher pour nous amener à l’hôtel (superbe hôtel).

Mercredi, 19h00 (10h)
On se donne rendez-vous dans le hall d'hôtel pour aller grailler un bout. C'est alors que je rencontre rapidement Michel Rocard, qui va faire la traverser avec nous (dans l'Astro). A l'origine, il devait utiliser un autre bateau pour aller en Antarctique, mais l'autre a lui aussi quelques difficultés.

Mercredi, 22h00 (13h)
Arrivée de l'Astrolabe à Hobart. On est venu les accueillir, et boire un verre avec ceux et celles qui revenaient. Personnellement, j'ai rapidement été me coucher car j'étais un peu (beaucoup) fatigué. D'ailleurs, j'ai fait le tour du cadran (couché minuit, réveillé midi passé).

Le fameux Astrolabe, à peine arrivé à DDU


Et pour la suite? Aujourd'hui, jeudi, c'est repos : grasse mat, internet, petite visite dans la ville. Vendredi, on débarque sur l'Astro à 10h. L'après midi, derniers achats, dernier repas le soir sur terre. On passe la nuit sur l'Astro. Samedi matin : départ du bateau vers DDU!

mardi 3 janvier 2012

It's the final countdown

Et voilà, j'y suis, dernier compte à rebours avant le Grand Voyage. J'ai mes billets d'avions en main, mon passeport en poche, et ma valise est faite : ca y est, j'me casse en Antarctique!!!

Départ de La Réunion à 13h
Arrivée à Maurice à 13h40
Départ de Maurice à 15h30
Arrivée à Sydney à 9h00
Départ de Sydney à 14h
Arrivée à Hobart à 16h30

Je sens que cette journée va être une pure journée, où l'on fait ho hé ho, ho ho, ho hé ho...

Et pour augmenter ma sensation de départ, Orange m'a coupé la ligne de mon téléphone portable, comme je lui avait gentiment demandé (et dans les temps en plus). Donc, à tous mes amis qui ont mon téléphone portable, vous pouvez me supprimer de vos contacts.

Injoignable, à l'autre bout du monde, je suis fin prêt pour cette grande aventure! Plus qu'un petit tour d'avion à réaction (pirouette, cacahouète) et une petite croisière follement amusante sur l'Astrolabe, fier semi-brise glace affrété par les TAAF (également surnommé le Gastrolabe, allez savoir pourquoi?) et je serais enfin à DDU (également appelé ... DDU).

Je pourrais alors revoir tous les autres hivernants qui m'attendent impatiemment (ou pas), afin que la team TA62 soit au grand complet!!!

Vous, mes amis qui me lisez, n'hésitez pas à laisser des commentaires sur mon blog, je les lirais.
Vous, mes amis qui me lisez, n'hésitez pas à m'envoyer des nouvelles directement par mail : adresse guillaume.payen@ddu.ipev.fr (l'adresse a été activé)
Vous, mes amis qui me lisez,ne m'envoyez plus de mails sur mes autres boites mails : je ne les lirai pas.

Voici enfin le mot de la fin : je vous souhaite à tous une bonne et une agréable année 2012, que la santé vous soit favorable pour pouvoir assister à la fin du monde prévue pour la fin de l'année. En tout cas, pour moi, cette année s'annonce géniale!!!

A bientôt (mais pas trop tôt non plus)
Guillaume